Comment évolue Dieval ?
On a toujours cherché cette veine blues et rock’n’roll, mais en plus on a joué dans pas mal de situation et on s’est adaptés. Ca fait plusieurs facette de Dieval et les Propulsions, une face rock et une face qu’on pourrait appeler électroacoustique
Vous serez à nouveau au Celtic vendredi soir. C’est toujours pareil ou c’est toujours différent ?
Ca faisait pas mal de temps qu’on n’y avait pas joué. On essaye d’être toujours différent, on ne fait jamais deux fois le même concert. Vendredi soir, on va proposer plein de nouvelles chansons qu’on a jamais joué. Il y a même des chansons qu’on a composé la semaine dernière ! Des trucs tous frais qu’on va tester en direct et voir comment le public réagit
Quels sont les projets de Diéval ?
On essaye de jouer le plus possible en ce moment pour récupérer assez d’argent pour enregistrer. On a trouvé un studio à Gijon en Espagne dans un esprit vintage, qui enregistre en analogique. Ca nous donne bien envie !
Des concerts dans le secteur ou plus loin ?
On joue pas mal dans le coin. A Bagnères ou je suis installé maintenant ou dans des festivals comme Jazz à Luz. On aimerait bien aller jouer plus loin. Aller en Espagne, en Italie, en Grèce. Mais notre problème c’est qu’on n’a pas de management pour s’occuper de ça.