Comment prépare-t-on une seconde édition ?
Quand on part pour une seconde édition, on s’appui sur la première édition qui avait bien marché. Pour faire quelque chose d’un peu plus époustouflant !
Que va-t-on voir à Barakacirq ?
Cette année c’est deux chapiteaux que nous allons installer au haras. Un plutôt pour les spectacles amateurs avec les jeunes talents, et l’autre pour les spectacles professionnels. Et on va se garder la liberté de faire un savant méli-mélo de tout ça avec des amateurs, de professionnels, de la bonne humeur, des jongleurs, des acrobates.
Quelle image du cirque avez-vous envie de donner ?
On veut montrer un cirque contemporain originaire de notre région, et faire un événement culturel, festif et social pour les tarbais, pour les bigourdans, pour nos adhérents et pour les partenaires. On veut montrer des spectacles de qualité à ceux qui aiment le cirque et on veut faire découvrir le cirque moderne à tous les publics.
Quels sont les moments forts de ce festival 2018 ?
On préfère parler de moments divers plutôt que de moments fort. Les groupes des plus grands des adhérents de Passing vont pouvoir se présenter sur la piste dans des conditions professionnels face à un public acquis que sont les familles, mais aussi le grand public. C’est des moments forts car c’est une expérience unique qu’ils vont vivre sous le chapiteau du haras. On peut parler aussi des spectacles pros, comme celui de vendredi soir avec la Compagnie Lazuz avec un spectacle qui a été présenté au festival du cirque mondial de demain. Ou le groupe Pas Vu Pas Pris qui va partager la piste avec nos ados des Mabouls pour un moment qui s’annonce particulièrement festif. Mais il y a plein d’autres moments qui promettent d’être forts.