D’où vient ce nom de 3404 ?
3404, c’est la hauteur de l’Aneto. On trouvait que c’était pas mal pour un groupe pyrénéen !
C’est donc du rock dub d’altitude ?
Voila ! On a commencé avec beaucoup de dub électro. Puis au fil des compos, le rock a pris pas mal de place pour arriver à une formule de rock électro. On a monté un set de compositions en travaillant soit avec des morceaux presque complètement préparés sur l’ordinateur avec des parties complexes de samples et d’instrumentation programmé. Ou à l’inverse, avec des morceaux montés en jouant, presque sans réfléchir, et complétés ensuite avec des samples. On a envie d’explorer des ambiances différentes tout en gardant une certaine unité de son.
Comment vous êtes vous retrouvé autour de cette formule ?
Joan à la batterie vient de Chu Tsao, Olivier était à la guitare dans Bewildered et je jouais dans Psyllium. On se connaissait pour avoir fait pas mal de dates ensemble sur les scènes des Hautes-Pyrénées et dans toute la région. Et puis on s’est retrouvé à un moment ou les trois formations s’arrêtaient. 3404, c’est un mélange des influences de ces 3 formations.
Ca a commencé quand ?
Ca fait un an qu’on a eu cette idée et qu’on a commencé à répéter. Mais entre une naissance et des voyages, on a pris le temps. Ce n’est qu'à la fin de l’année dernière qu’on a fait nos premiers concerts. On a joué à la Pistouflerie, un bar associatif de Saint-Gaudens, et au Paradisio à Sarrancolin. Avec le Celtic jeudi ca sera le premier concert à Tarbes !
Que peut-on souhaiter à 3404 ?
Déjà tourner : on part sur Montpellier le 11 février pour le festival « Les machines à Liver ». Ensuite ce sera le derby de Piau Engaly le 19 mars. On voudrait aussi pouvoir continuer dans la lignée des formations dans lesquelles nous étions avant. Arriver à faire le même genre de scène et faire d’aussi beaux concerts.
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