Pourquoi les Subcity Stories se sont-ils séparés ?
C’est surtout pour des raisons de divergence, on n’avait plus les mêmes objectifs musicaux. Je ne m’attendais pas à arrêter à ce moment-là, mais ça devenait un peu compliqué et on s’est séparé en très bons termes. Chacun continue son propre chemin !
Astromilk est un nouveau projet ?
Non, c’est un projet que j’avais à côté des Subcity Stories. J’y mettais tout ce que je ne pouvais pas caler dans le groupe, toutes mes autres influences comme la pop ou la folk. J’avais fait le premier concert au Celtic en octobre 2011 et quelques concert après comme à Rodez ou à la Convention du disque au Bikini, mais c’était vraiment en marge du groupe et je ne me suis pas vraiment occupé de ce projet jusqu’ici. Mais avec la séparation des Subcity Stories, j’ai écrit de nouveaux morceaux et je prépare un album qui sortira le 21 septembre prochain, très certainement au Celtic !
Comment présentez-vous Astromilk ?
Je ne veux pas enfermer ce projet dans un style bien défini. Pour le moment c’est plutôt folk quand je suis sur scène car je suis seul avec ma guitare et ma voix et ça devient plus pop sur l’album puisque j’ai ajouté d’autres instruments. C’est un style qui peut évoluer au gré de mes envies ; je me sens vraiment très libre dans ce projet ou je suis tout seul. C’est un peu mon défi mégalo ! Le concert de vendredi est un tour de chauffe avant la sortie de l’album et l’occasion de voir comment le public réagit. On verra après pour la suite, j’ai aussi d’autres projets en cours…