Spectacles à Tarbes et en Hautes-Pyrénées du ‹‹ ‹ Thursday, August 20, 2020 › ›› ≡

Rencontres Pyrénées Vivantes : La maladie du frêne
17h : La maladie du frêne. Communication sur cette maladie du frêne qui gagne nos forêts pyrénéennes. Sous réserve. Se renseigner au 05 62 39 23 03
Billeterie
Rencontres Pyrénées Vivantes : Protégeons les forêts des Pyrénées !
Communication et échanges autour de l’implantation d’une scierie industrielle de la multinationale Florian à Lannemezan.
Billeterie
Rencontres Pyrénées Vivantes : La lluvia amarillaJulio Llamazares
Au nord de l’Espagne dans l’Alto Aragón, dans les contreforts des Pyrénées, se trouve le village d’Ainielle.
Ainielle fait parti d’un vaste ensemble montagneux ou se trouvent nombre d’autres villages de ce type dans le Sobrepuerto et le Sobrabe. On les nomme en Espagne «los deshabitados» ou «despoblados».
Ainielle fut abandonné progressivement de 1950 à 1973 pour des causes multiples : politiques industrielles et sociales de la dictature franquiste, isolement (accès uniquement pédestre), difficulté de la vie rurale et paysanne.
Ce village est le théâtre de la nouvelle « La Lluvia Amarilla », écrite par Julio Llamazares en 1988, dont la parution eu un très grand retentissement en Espagne.
Ce récit est le point de départ du projet artistique LA PLUIE JAUNE, on y retrouve la richesse des multiples thèmes abordés dans cette nouvelle (exode, solitude, folie), associés à sa forme (un long monologue où passé, présent, futur sont confondus), ainsi qu’à la beauté et l’incroyable puissance émotionnelle que dégagent ces lieux.
Xavier CAMARASA (fender rhodes, effets), Richard COMTE (guitare électrique, effets), Julien CHAMLA (batterie) et Nicolas JULES (récitant, voix)
Expositions à Tarbes et en Hautes-Pyrénées en cours le Thursday, August 20, 2020

Jusqu'au Friday, August 28, 2020
/ Le Carmel / TarbesMonique Deyres
Depuis plus de 30 ans, Monique Deyres puise son inspiration dans la nature où elle emprunte ses matériaux de prédilection. Prolongement de ses ateliers, ses jardins se révèlent de véritables terrains d’expérimentations. Les végétaux qu’elle retravaille en fonction des atteintes du temps, permettent à l’artiste de soulever les notions d’espace, de paysage et de mémoire. Elle trouve toujours dans le jardin la matière de ses œuvres : lianes de kiwis enchevêtrées, fleurs et feuillages compressés en briques. Chaque série d’œuvres naît après une longue maturation la conduisant à la suivante. Celle d’un cèdre abattu, par exemple dont l’estampage d’une section de tronc sur des feuilles de papier a constitué une suite d’images teintées avec les couleurs extraites des pétales de coréopsis.
Qualifiant sa démarche « d’exploration et d’expérimentation du vivant, du paysage et de la nature en interaction avec l’espace et le temps », Monique Deyres a su bâtir une œuvre empreinte de poésie.