Comment a évolué la Swing 65 depuis notre dernière rencontre en 2010 ?
C’est un trio à la base, avec Philippe Pierre-Huerta à la contrebasse, Jean-Claude Pique à la guitare rythmique et je suis à la clarinette. Le groupe a évolué au fil des rencontres du trio au quintet. Il y avait le joli sourire de Coline Potut qui a fait un bout de chemin avec nous, jusqu’elle soit maman. On aimerait bien ajouter un guitariste soliste pour soutenir la clarinette.
Est-ce que le répertoire tourne toujours autour de Django Reinhardt ?
Oui c’est toujours autour de Django, mais au-delà du répertoire swing, on cherche de belles mélodies, des bonnes chansons. Comme celles de Sidney Bechet dont je suis fan qu’on va retrouver dans notre répertoire. Et on avait fait un sondage sur notre site pour savoir quels morceaux le public voudrait entendre. On travaille plein de nouveaux morceaux qui vont nous permettre de passer de 50 à pas loin de 70 titres !
Qu’allez-vous nous proposer au Celtic ?
Jean-Claude Pique ne sera pas là. Alors on a invité Robert Papasian à se joindre à nous pour cette soirée. On va donc retrouver notre répertoire, et on va profiter de la présence de Robert pour ajouter une voix à tous ces morceaux de swing. On aura aussi peut-être une autre guitariste rythmique…
Quels sont les projets du groupe ?
Continuer à développer notre répertoire et faire beaucoup de concerts, comme celui du 12 avril prochain au Centre Albert Camus de Séméac avec le guitariste et chanteur Paco Diaz qui va transformer des standards qu’on jouait en chansons, avec la touche latino.