Comment présentez-vous Koun-Koun ?
C’est la rencontre de six personnes, une grande histoire d’amitié entre six musiciens qui viennent d’univers musicaux très différents. Ca a commencé dans cette configuration en 2002. On se retrouve car on a envie de créer quelque chose ensemble. Certains viennent du rock, voir du Punk. Pour d’autre c’est le jazz ou l’électro. Koun Koun, c’est un mélange très libre de ces inspirations. Ils n’y a pas de barrières ! On a vraiment notre propre style. Et ca plait aux gens qui aiment le rock progressif, à ceux qui aiment le rock’n’roll, et à ceux qui aiment l’électro.
Koun Koun, c’est aussi un OVNI : avec 3 bassistes, vous avez une improbable configuration…
Trois bassistes, c’est une configuration qui peut aussi fonctionner. C’est trois styles très différents qui nous ouvrent des portes rythmiques et mélodiques. Klöd est très au fond, avec des rythmiques qui balances entre funk et jazz rock. Jean-Marc est plutôt sur des parties rapides dans l’esprit rock’n’roll. Et moi j’assure le lien entre la guitare et la batterie.
On ne vous voyait plus sur scène depuis quelques temps. Koun Koun était sur pause ?
On n’a pas fait de scène depuis février ou mars dernier, mais c’est une parenthèse par force. Ce n’est pas faute d’avoir envie de jouer, ce n’est simplement pas facile de trouver des dates pour un groupe de six personnes. Alors on a joué chacun de notre coté, dans d’autres formations. Alex avec Chu Tsao et Grolürg, moi avec Madeleine, Klöd fait du théâtre. On a continué à se voir toutes les semaines et la on est bien content de venir au Celtic !
Quels sont les projets de Koun Koun ?
On prépare un nouvel album qu’on enregistrera en avril prochain. Il y a déjà six morceaux prêts qu’on va jouer samedi au Celtic. Il rste à en faire quatre pour completer l’album qui devrait sortir en mai ou juin prochain.