Pouvez-vous nous en dire plus sur ce Nougaro ?
On est tous fan de Nougaro. On a envie de continuer à faire vivre ses chansons, ses mots, sa poésie. Mais sans chercher à l’imiter, avec notre propre identité et nos possibilités, à deux voix, une guitare, une clarinette et une contrebasse. Une configuration assez épurée pour laisser la place au texte lui-même. Et puis entre deux chansons on raconte aussi une partie de sa vie, avec des anecdotes, l’histoire de certains morceaux. Il y a beaucoup de choses à raconter !
Comment le public reçoit ce Nougaro jazzy ?
Le grand public a en tête les chansons les plus connues de Nougaro, mais on joue aussi des morceaux moins connues, comme Prisonnier des nuages ou Rimes. Les gens apprécient de retrouver les chansons qu’ils connaissent, de découvrir les autres, et ils sont intéressé par ce qu’on raconte entre deux chansons.
Le Celtic est un bon endroit pour cette formule ?
Oui, même si ce spectacle est fait pour des salles qui vont jusqu’à 100 personnes, comme au Chaudron ou nous avons joué l’an dernier. Mais on retrouve au Celtic la proximité et le concert du dimanche soir à un public qui cherche plus du jazz que du metal. Après le concert de mercredi à Juillan dans la quinzaine Littéraire de Guy Rouquet, ça sera une bonne occasion de retrouver le public tarbais.