Pourquoi organisez-vous cette soirée au Celtic ?
Je suis l’éditeur des Editions de L’Improbable installées dans la même rue que le Celtic. J’ai déjà fait des controverses philosophiques au pub, on a déjà présenté plusieurs fois nos libres aussi. Et c’est la que j’ai organisé la nuit de la lecture de l’année dernière car on avait envie de monter quelque chose. Et on y revient pour cette éditions 2019. C’est vrai qu’on n’est pas dans une librairie ou dans une bibliothèque, mais le Celtic se prête bien à la lecture. Il y a une bibliothèque, il y a des soirées consacrées aux livres. Et ça correspond bien à notre envie d’ouvrir sur toute la population et des casser les codes. Et puis c’est un lieu plein de possibilités !
Qu’allez-vous proposer samedi soir ?
On va comme l’année dernière croiser des lectures avec des expressions et des créations. On va associer lecture, écriture et oralisation. On va proposer notre Usine à poèmes qui permet de reconstituer des poèmes en recombinant des poèmes existants. Le public pourra aussi fabriquer des livres comme je le fais avec mes éditions. Et un atelier délire qu’on précisera sur le moment. Et on lira, on discutera, on partagera.
Est-ce que les livres et la bière font bon ménage ?
Bien entendu ! Avec la bière ou le vin comme le dit Rabelais « Horace qui toujours buvait en écrivant et écrivait en buvant »