On a connu les Blackstones lors du tremplin de La Gespe. Quel est votre parcours depuis ?
On a commencé à jouer ensemble au collège en 2012, on était tous à Blanche Odin à Bagnères, Et nous sommes maintenant tous étudiants à Toulouse. On a évolué depuis, techniquement d’abord en prenant des cours, en écoutant pas mal de choses aussi, du rock, du progressif et même de l’électro, en jouant sur plein de scène comme en jouant pour le tremplin Décroche le son à Toulouse avec lequel on a été jusqu’en finale. Mais on garde notre style et l’identité de Blackstones.
Est-ce que ça a changé l’ambition du groupe ?
Au début on jouait sans penser que ça allait continuer. Et puis les premiers concerts nous ont montré que le public aimait bien notre musique. Un plaisir qui dure toujours. Ca nous tient maintenant à cœur et on n’a pas envie que ça s’arrête.
Vous avez sorti un album ?
Notre premier album est sorti il y a tout juste trois semaines. On a mis un an à le faire, mais on est très content du résultat, d’avoir fait cet album nous-même, avec uniquement des compositions.
Que peut-on souhaiter à Blackstones ?
On a envie d’être reconnus, de devenir professionnels, mais le plus important est que le public continue à aimer notre musique. On fait de la musique pour nous et pour les gens qui nous écoutent, ça reste notre priorité.