« Ô rage ! Ô désespoir ! Ô vieillesse ennemie ! N'ai-je donc tant vécu que pour cette infamie ? ». « Je suis jeune, il est vrai, mais aux âmes bien nées, la valeur n'attend point le nombre des années ». « Rodrigue, as-tu du cœur ? ». Le Cid de Pierre Corneille est truffé de ces tirades passées à postérité, incontestable signe que c’est un classique parmi les classiques que le Parvis nous amène sur un plateau mardi et mercredi. Un des plus beaux textes pour nous offrir la dispute entre deux pères sur le point de marier leurs enfants qui aboutit au duel au cours duquel Rodrigue tue le père de Chimène qui va malgré tout continuer à aimer son amant assassin pour l’honneur.
De l’amour et de l’honneur sur fond d’aventure et d’héroïsme que Yves Beaunesne promet de nous livrer comme un Cid brut, avec une énergie et une insolence qui défie le classicisme assagi par la patine du temps et des quatre siècles écoulés depuis que la première du Cid. Un metteur en scène bien connu des tarbais qui ont pu voir au fil des saison le Récit de la servante Zerline, Le canard sauvage d’Ibsen ou L’échange de Claudel. Trois superbes mises en scène qui nous promettent un Cid étincelant dans l’impossible conjugaison de l’honneur de son père et de l’amour pour Chimène. Et comme la distribution est tout aussi prometteuse avec Thomas Condemine dans le rôle de Rodrigue et Jean-Claude Drouot dans celui de son père, c’est un grand Cid qui nous est promis.
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